mardi 16 mai 2023

Attention ! Risque de famine et d'abeilles agressives...


Plusieurs de nos membres nous ont signalé des risques de famine, que ce soit après la récolte de printemps, ou dans des zones où il n'y a pas eu de colza. 
Il est vrai que la nature et les cultures connaissent en général un "entre deux" avant les floraisons estivales, même si le retard de cette année a laissé place à une forte floraison d'aubépines et d'asphodèles.
Mais la météo capricieuse n'arrange rien !
Surveillez vos ruches...

Enfin, on nous signale également des colonies agressives. J'ai moi-même été très surpris par un essaim en furie qui s'est jeté sur moi dès le brossage dans la ruchette. Résultat : une soixantaine de dards sur la main gauche et une quarantaine sur la droite. Sans parler des cuisses et des bras à travers le vêtement. Heureusement j'avais mis un voile. Je n'avais jamais vu ça en plus de trente années d'apiculture ! 
Alors allez-y prudemment...

mardi 19 avril 2022

Exposition : Les abeilles sauvages, reines de la pollinisation, butineuses méconnues.

 

Cette exposition se constitue de :

   29 panneaux pédagogiques comprenant des généralités sur les abeilles sauvages du monde : spécificités morphologiques, de mœurs et d’habitats ; rôle dans les écosystèmes ; raisons et conséquences de leur déclin généralisé ; ce que chacun peut faire à son échelle pour soutenir leurs communautés et populations. Et le détail des 6 familles d’abeilles sauvages présentes en France et en Europe, mais aussi ailleurs sur le globe. 

Ces panneaux didactiques comportent textes, dessins, schémas et photos ;

   21 panneaux où ne figurent que des photos d’abeilles sauvages présentes en ex-Basse-Normandie – et, plus largement, dans le Grand-Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie) – puisque photographiées par elle dans son jardin situé dans le Calvados.

Sa motivation est de sensibiliser les gens à la présence, dans notre environnement proche, de ces pollinisateurs diversifiés et... très mal en point, comme la plupart des insectes. Et de faire prendre conscience à chaque personne qu’elle peut concourir à leur préservation (en militant contre les pesticides qui les anéantissent et en sauvegardant/multipliant les plantes à fleur dont ils se nourrissent notamment).

Ex-apicultrice et entomologiste amatrice passionnée par les abeilles mellifères et sauvages, Isabelle Avisse entretient dans le Calvados un terrain de 1 ha afin qu’il offre le gîte et le couvert à un maximum de pollinisateurs. Auteure du Grand Traité des miels publié en 2014 aux éditions Le Sureau, elle rédige des articles sur la biodiversité de la faune pollinisatrice dans diverses revues naturalistes.

 Cette exposition se constitue de :

   29 panneaux pédagogiques comprenant des généralités sur les abeilles sauvages du monde : spécificités morphologiques, de mœurs et d’habitats ; rôle dans les écosystèmes ; raisons et conséquences de leur déclin généralisé ; ce que chacun peut faire à son échelle pour soutenir leurs communautés et populations. Et le détail des 6 familles d’abeilles sauvages présentes en France et en Europe, mais aussi ailleurs sur le globe. 

Ces panneaux didactiques comportent textes, dessins, schémas et photos ;

   21 panneaux où ne figurent que des photos d’abeilles sauvages présentes en ex-Basse-Normandie – et, plus largement, dans le Grand-Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Basse-Normandie) – puisque photographiées par elle dans son jardin situé dans le Calvados.

Sa motivation est de sensibiliser les gens à la présence, dans notre environnement proche, de ces pollinisateurs diversifiés et... très mal en point, comme la plupart des insectes. Et de faire prendre conscience à chaque personne qu’elle peut concourir à leur préservation (en militant contre les pesticides qui les anéantissent et en sauvegardant/multipliant les plantes à fleur dont ils se nourrissent notamment).

Ex-apicultrice et entomologiste amatrice passionnée par les abeilles mellifères et sauvages, Isabelle Avisse entretient dans le Calvados un terrain de 1 ha afin qu’il offre le gîte et le couvert à un maximum de pollinisateurs. Auteure du Grand Traité des miels publié en 2014 aux éditions Le Sureau, elle rédige des articles sur la biodiversité de la faune pollinisatrice dans diverses revues naturalistes. 

Médiathèque de Pontchâteau

25 avril au 13 mai 2022


Les clés d’une bonne entente avec les pollinisateurs, conférence le 29 avril 2022 à Pontchâteau.

*

Pour récolter un seul kilo de miel, une colonie d’abeilles mellifères doit visiter plusieurs millions de fleurs. D’où la nécessité d’offrir à nos abeilles, comme à l’ensemble des pollinisateurs, des milieux aux ressources abondantes et variées tout au long de la saison. Les paysages (haies, bocages, bords de route et milieux semi naturels) comme les pratiques agricoles (praires et cultures), mais aussi les jardins, jouent un rôle essentiel pour leur bonne santé, ce qui engage la responsabilité de chacun.   

Ce sera l’objet de la conférence de JF. Odoux organisée le vendredi 29 avril 2022 par le Parc naturel régional de Brière et l’association BISE (Brivet initiatives santé environnement). Cet ingénieur INRAE aujourd’hui à l’Université de Caen travaille sur le service écosystémique de pollinisation et l’importance des ressources florales disponibles pour l’ensemble des pollinisateurs.  L’occasion de belles découvertes : on pourra constater que les abeilles, sauvages comme domestiques, ne sont pas les seuls pollinisateurs, mais que d’autres insectes tels que des mouches, notamment en prairies, jouent un rôle complémentaire pour la préservation de la biodiversité. 

JF. Odoux a participé à de nombreux travaux concernant les effets des pratiques agricoles sur les colonies d’abeilles mellifères dans les plaines céréalières dans les Deux-Sèvres dont il présentera les résultats. Il évoquera également ses recherches actuelles sur les prairies humides en Normandie.

 

Vendredi 29 avril à 20 h

Salle JY Plaisance (Coet Roz)

Pontchâteau


jeudi 10 février 2022

A vos agendas : assemblée générale le samedi 5 mars 2022 au lycée du Locquidy à Nantes

Si vous voulez commander des médicaments pour vos ruches, il est impératif de cotiser au GDS (20€) en complément de l'adhésion à l'ASAD44 (10€). 

Merci de renvoyer votre bulletin d'adhésion à l'adresse suivante

2 rue Dugast-Matifeux, 44000 Nantes

En cas de difficulté asad44contact@orange.fr